Selon des sources fiables au Parti libéral du Québec et au Parti Québécois, la lune de miel entre Jean Charest et Pauline Marois serait définitivement terminée. En effet, les bons moments de coopération et de travail commun dans le but ultime d'améliorer le sort des Québécois se sont transformés en attaques personnelles et en tiraillements partisans.Lors d'un point de presse, Jean Charest n'a pu retenir son désespoir: "J'arrive pas à comprendre comment ça s'est passé. Avant on s'entendait bien, on partageait des idées constructives, elle me laissait même à l'occasion traiter ses députées "d'hostie de chienne" en chambre, pis là bang! Tout a basculé. Je vois pas comment on en est arrivés là. Le parti libéral a toujours tout fait dans les règles de l'art. C'est pas de notre faute si les règles sont pas trop claires pis que personne se force pour les appliquer."
Pauline Marois, de son côté, ne cache pas sa frustration: "Cet hostie de gros cave d'innocent de crotte a pas l'air de comprendre que pour faire de la politique au service des citoyens, faut d'abord et avant tout laisser de côté les attaques personnelles et rester objectif. On veut des débats d'idées, mais ces crisse de mafieux corrompus de pourris sales comprennent pas ça."
Une rencontre fortuite à la sortie du parlement a d'ailleurs tourné au vinaigre alors que les deux ex-amis ont croisé le fer devant une troupe d'enfants fréquentant le CPE du coin de Grande Allée. Les parents de ces enfants se sont par la suite étonnés des questions posées par leurs rejetons. Mentionnons-en quelques-unes:
"Papa, c'est quoi une Grosse crisse de chienne populiste?"
"C'est quoi que ça veut dire Mangeux d'marde, maman?"
"C'est où ça, dans l'brun?"
Détails à venir.
Notre photo: l'idylle entre les deux chefs de partis est bel et bien terminée
