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vendredi 28 juin 2013

"Une pipe, ça compte pas vraiment"

Laval- En réponse a des allégations faites par certains médias sans scrupules, Alexandre Duplessis, maire de L'avale (sic), a nié avoir reçu ou sollicité des gestes à saveur sexuelle.

"J'ai plutôt demandé des gestes à saveurs de fraise, gomme baloune,  chocolat belge et mangue-banane. Rien à voir avec les allégations de vos confrères." Selon le maire Duplessis, il est grossier, vulgaire et ignoble de le croire capable d'exiger du sexe en plus de l'argent habituel lors des transactions relatives à l'attribution de contrats municipaux.

Brenda en action
Toujours à la fine pointe du journalisme d'enquête, nos recherchistes ont découvert la personne à l'origine des allégations à caractère sexuel. Il s'agit de Brenda, jeune professionnelle résidant à Laval-des-Rapides et oeuvrant dans le secteur de la détente post coïtale. Selon Brenda, le maire l'aurait accostée poliment lors d'un meeting d'affaires avec les firmes Roche et Dessau, lui avouant son
penchant pour les jolies femmes bien membrées et poilues. "J'ai fondu tout de suite, alors je ne l'ai même pas fait payer."

Fort de ces aveux, votre journal est retourné voir monsieur Duplessis, qui aurait alors nerveusement balayé la question du revers de la main, déclarant qu'une pipe, ça compte pas vraiment.