"Je m'excuse de t'avoir traitée de grosse crisse. En vrai, t'es pas si grosse." |
Le député de Papineau, après s'être excusé, a voulu revenir "aux vraies affaires". Il serait selon lui temps de reprendre les débats de fond, comme d'empêcher la tenue d'une enquête publique sur le milieu de la construction, le financement occulte des partis politiques et de trouver de nouvelles façons de ramper devant le gouvernement fédéral et d'éliminer la langue française de l'Amérique du Nord. "Les Libéraux ont ces dossiers très à coeur et il faut y remettre toute notre énergie."
"Sérieusement, je crois que toute cette histoire est allée trop loin. Oui, je l'ai traitée de grosse crisse et c'est regrettable. Mais soyons francs, n'eut été de ces hostie de pleins de marde de journalistes et des suceux de bitte de l'opposition, toute cette histoire n'aurait jamais pris une telle ampleur. Maintenant, si tous les enculeurs de mouche de la province veulent bien aller de rasseoir dans le bordel où ils sont nés, j'aimerais recommencer à faire de la politique propre, s'il-vous-plaît."